So, ich weiß net ob es auch okay ist wenn man hier fremdsprachige Texte postest, ich machs jetzt einfach mal. Ach ja das ist mein erster Text ist wahrscheinlich eh nicht so ein totaler Knüller geworden. Wenn gewünscht kann ich auch noch ne Übersetzung reinstellen.
Les Conflits Intérieurs
1. Part
Quelquefois je crois que je tombe dans un grand trou
Je suis triste et je m’interroge si c’était tout
Je me sens seule et misérable dans l'obscurité
Je regarde mes murs et commence à imaginer
Un monde meilleur et une vie plus belle
Et je voudrais que ce soit réels
Jusqu'à je remarque qu'il est déjà tard,
Avant de partir j'ai besoin du fard
Mais quand je quitte la maison et vais dans la ruelle
Je vois aux visages de gens qu’ils ont une vie cruelle
On voit de soucis, de la torture et de la tristesse
Du chagrin, de la peur et d’autres détresses
Chaque jour il y a des hommes qui se foutent en l’air
Voyou, tu t’en fous complètement, c’est claire
Une époque noire, pourquoi tu pleure autant sœur
Il me semble que tout attende à sa dernière heure
Hook
Toujours les mêmes problèmes, on reçoit la crise
Je regrette de dire c'est une terre grise
Je n’ai pas envie de moisir ou de crever ici
Quand personne change l'état, je crie si, si
Probable il n’y a pas une perspective pour nous
Des affaires terribles se passent, coup sur coup
2. Part
Entre les pâtes de maisons il y a trop peu d'espoir
La réalité est un sinistre unique, une foire
Nous sommes des prisonniers dans les banlieues
Les riches, ils habitent à la campagne comme Dieu
Avec des voitures luxueuses devant les grandes maisons
J’crois pas qu’ils sont heureux, c’est pour tout une prison
Je veux pas interdire des rêves formidables
Mais je trouve qu’ils devraient être véritables
Être heureux avec ce qu’on a, c’est ma devise
Et avoir des espoirs qui sont de mise
Il faut qu’on se délivre de fausses illusions
Puis on vit libre sans des préoccupations
Les Conflits Intérieurs
1. Part
Quelquefois je crois que je tombe dans un grand trou
Je suis triste et je m’interroge si c’était tout
Je me sens seule et misérable dans l'obscurité
Je regarde mes murs et commence à imaginer
Un monde meilleur et une vie plus belle
Et je voudrais que ce soit réels
Jusqu'à je remarque qu'il est déjà tard,
Avant de partir j'ai besoin du fard
Mais quand je quitte la maison et vais dans la ruelle
Je vois aux visages de gens qu’ils ont une vie cruelle
On voit de soucis, de la torture et de la tristesse
Du chagrin, de la peur et d’autres détresses
Chaque jour il y a des hommes qui se foutent en l’air
Voyou, tu t’en fous complètement, c’est claire
Une époque noire, pourquoi tu pleure autant sœur
Il me semble que tout attende à sa dernière heure
Hook
Toujours les mêmes problèmes, on reçoit la crise
Je regrette de dire c'est une terre grise
Je n’ai pas envie de moisir ou de crever ici
Quand personne change l'état, je crie si, si
Probable il n’y a pas une perspective pour nous
Des affaires terribles se passent, coup sur coup
2. Part
Entre les pâtes de maisons il y a trop peu d'espoir
La réalité est un sinistre unique, une foire
Nous sommes des prisonniers dans les banlieues
Les riches, ils habitent à la campagne comme Dieu
Avec des voitures luxueuses devant les grandes maisons
J’crois pas qu’ils sont heureux, c’est pour tout une prison
Je veux pas interdire des rêves formidables
Mais je trouve qu’ils devraient être véritables
Être heureux avec ce qu’on a, c’est ma devise
Et avoir des espoirs qui sont de mise
Il faut qu’on se délivre de fausses illusions
Puis on vit libre sans des préoccupations