Shurik'n Texte

mars

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13. Januar 2001
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"Le rêve que l’on y a enfermé peut durer jusqu’à la fin du monde"
Ne pas trimer comme un connard
Rentrer tard le soir
Les mains noires de cambouis
M’empêche de dire bonsoir à ma famille
Ne pas faire la queue au PMU
Le ticket à la main, avoir perdu
Rester la langue pendue
Mais pas s’avouer vaincu
Ne pas en chier pour renter en boîte
Marcher sans que le flics m’emboîtent
Le pas, dès que je sors, sortir ma carte
Ca rend les mains moites
De boîte de conserve en boîte de conserve
Ne pas avoir le goût du fer
Quand ma vie et l’enfer s’envoient en l’air
Ne pas regarder les infos, content
En me disant "y’a pire que moi"
Moi, j’ai toujours une chance au loto
J’aimerais avoir une vie normale, banale
Parsemée de marmaille
Sortir mon chien, boire mon café
Lire mon journal les pieds sur terre
Parmi les clebs
Y’a que de la pression
Les gosses croquent la mort à pleines dents
Comme dans une barre de Lion
Les carries c’est rien, on s’en remet
Et puis un jour, tu mords trop fort
Et là tu perds ton dentier sur ton pallier
Ne me pince pas, je ne veux pas m’éveiller
Laisse-moi dormir chez moi
La réalité nous fait subir le pire
Ceux qui désirent saisir le rêve
En rêveront toujours, sauf dans les thrillers
Où je cherche mon tour
Les marchands de sable passent pas ici
Le grillage fait ta nuit
Tant pis, on dormira
Quand on aura suffisamment roulé, fuit
Ce truc bizarre entre sommeil et vie
Beaucoup restent sur le parvis
Tentent le diable, font tapis pour le profit
Et la roue tourne, pas pour la fortune
Sur le bitume, y pousse pas de tunes
Que de la poisse et de l’infortune
Et tue l’habitude rue l’insolente
Collante, me fait penser qu’à ma pensée
Y’a qu’un pansement de billets
Pour colmater les plaies, pigé?
La cécité est une nécessité
Pour insister, avancer
Ici, y’a pas de Moïse, la merde va pas s’écarter
c’est comme ça que ça marche
J’enlève la bâche, un flash de vrai cash
Auprès desquels nos rêves font tâche
C’est pour ça qu’on les cache, bébé

Refrain:
Mes rêves?
"Quels rêves?"
Même nos rêves c’est des cauchemars
A chaque mauvais coup qui frappe mon destin s’égare
(bis)

C’est pas le pays des merveilles
Pas de trêves pour les rêves
Reste en mode veille, sinon crève
L’histoire s’achève avant d’avoir commencé
Pour en éviter d’en arriver là
Vaut mieux pas rêver, rester réveiller
(bis)

Mes rêves, mes rêves à moi
Rester sur terre, solitaire
Avec ma musique seulement
Ne pas penser à l’argent
Ne plus penser au bas fond, à ma vie
A ce genre de truc
Quand on a pas un rond, rester relax
Pas évident, fréro
Résister tous les jours à cause du mauvais parcours
Que j’ai choisi dix ans avant
Nous rapporter responsabilités engagées
Il faut se débrouiller, que faire?
Faire semblant de m’amuser?
Frappé par la foudre du mal qui m’entoure de ses éclairs
Je rêve de beau temps
Mais le paradis n’est pas sur terre
Le Cerbère veille sur Marseille, la porte de l’enfer
Pour la plupart de mes frères
Servir le mal est devenu une bonne affaire, un cauchemar
Mon répertoire de textes aigris
A cause de ma putain de vie j’écris
Mes rêves, mes rêves, mes rêves
Pour l’instant me fuient
Comme une proie devant un prédateur
L’orateur chasse le savoir qui vient du cœur
Pour mon ami flambeur
Je te souhaite que du bonheur
Mais tu le sais, nul ne sait de quoi sera fait demain
Demain c’est loin
Je fais avec en tirant sur mes joints du matin au soir
Dans mes rêves y’a pas de miroirs
La double personnalité reste dans un tiroir
Seule la compassion existe, pour t’émouvoir
Un rêve dans un rêve
La trêve que mes amis jamais ne crèvent
Lucifer me maudit à chaque fois que ma voix s’élève
Elevé à Alger
Dans les bains de sang on s’est retrouvé
L’amour renaît
Que mon vœux soit exaucé
Je crois que c’est mon seul vrai souhait
Les rêves sont difficiles à cerner
Je laisse faire celui qui sait
C’est la nuit, que tout recommence
Quand le soleil se couche
Je n’arrive plus à faire la différence
Entre rêve et réalité
Quel sens? même si personne ne croit en ce que je fais
Je le fais

Refrain

"Un rêve? Ceci n’est pas un rêve. Peut-être... que moi je rêve."
 
he wer kann denn schon französisch, übersetz doch mal für die leute die zu doof für franz. sind.
 
samurai

sorry breakstar, seh das erst jetzt....

Toujours vif, comme au premier jour de cours
Où tour à tour les mecs te matent
Claque pas des genoux ou T’es viré de la cour
Tenir le coup, regard froid fais pas le tocard
L’oeil au beurre noir
Vaut mieux le faire que l’avoir
Dès le plus jeune âge engrainé
A évoluer dans une meute où l’ego
Se fait les dents sur les colliers d’à-côté
Où les réputations se font et se défont
Où les moins costauds enjambent les ponts
Se défoncent sans modération
En guerre permanente avec les autres les bandes se forment
On comprend vite que on est plus fort avec ses potes
En somme, voici venir l’âge béni
Où tu te crois homme, mais t’es qu’un con
Et il y a qu’à toi qu’on l’a pas dit
Les autres jouent les caïds pour une bille
Puis une fille, les poils s’hérissent
Les dents grincent on tape pour des peccadilles
Evite les yeux, on doit pas voir quand ça va mal
La moindre faille physique ou mentale
L’issue peut être fatale
On grandi au milieu des rônins
Chacun sa barque pourrie sur sa mer de merde
Chacun sa voix, sa vie
Devant l’adversité, les coudes se soudent
On pousse un kiai le doute se taille
Prêt à mourir comme un samurai


Refrain:
On joue dans un chambaras
La fierté, la loi tue, comme un bon vieux colosawa
La main sur le katana même si la peur m’assaille
Je partirai comme un samurai
(bis)


Les temps passent
Baby capte grandit entre le fer et la soie
La soie, c’est avec le fer qu’il l’a acquise
Aux prises avec la pression
La presse relate ses actions
La prison souvent remplace le paxon
Le ponpon s’agite au-dessus de nos têtes
Chacun le veut pour lui un billet pour le manège
Gratuit, verrouillé la nuit les lampadaires se morphent en mecs
Une seule quête, les pépètes
Quand t’as les sous tu drives une 7-20
Et tu touches des seins en lutte
Souvent on butte sur le pied du voisin
Espace restreint on gueule souvent, on en vient aux mains
Pour tout et rien ça finit devant témoins
Et va savoir combien de temps on peut rester sans voir les siens
Comprends bien c’est une réalité, et pas une BD
Les sens toujours éveillés
Eviter les embûches, les femmes risquées
Les boîtes piégées les gens ont changé
La rue est mal fréquentée
Surtout sors pas sans tes papiers
Ca peut gâcher la soirée
J’ai combattu j’ai eu mon heure, mon jour
Je verse un verset pour ceux qui attendent leur tour
Et ceux qui ne rigoleront plus
On baissera pas les bras, on n’est pas né pour ça
Même vaincu, on se jettera dans la bataille
Pour l’honneur, comme un samurai

Refrain


one love
 
kauft euch lieber ma das IAM - album.............da sin die texte sowieso drin.......
 
sorry...aber wäre jemand so freundlich und würde das übersetzen? ich versteh kein wort französisch, hab latein :rolleyes:
 
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